Saintes "pressions" anti-avortement aux Etats-Unis. Reportage consacré à l'action des groupes de pressions anti-avortement aux Etats-Unis. Très influents, ils ont fait passer des lois qui rendent plus …More
Saintes "pressions" anti-avortement aux Etats-Unis.
Reportage consacré à l'action des groupes de pressions anti-avortement aux Etats-Unis. Très influents, ils ont fait passer des lois qui rendent plus difficile le recours à l'IVG et à la contraception. Au Texas, les médecins doivent maintenant décrire le foetus à la mère souhaitant avorter et lui lire un texte, sous peine d'être privé d'exercer. Cette méthode vise à faire culpabiliser les mères et les femmes. Les cliniques pratiquant l'IVG se sont dotées d'un système de sécurité renforcé pour assurer la protection des patientes et des médecins, harcelés et menacés de mort. A Salt Lake City, l'éducation sexuelle a été interdite à l'école puis réintroduite sous la pression de parents. Les droits des femmes à disposer de leur corps semble être en régression.Le commentaire intervient sur des images factuelles en alternance avec les interviews de Curtis BOYD, médecin, d'une patiente, de Rebecca THOMSON, comité catholique contre l'IVG ainsi que les témoignages d'un couple qui souhaitait avoir recours à l'IVG, de Meritt TIERCE, association caritative pour les femmes " teafund " et les déclarations de Rush Limbaught, un animateur radio conservateur et Rick Santorum, candidat républicain.[Source : prompteur France 2] Direction les Etats-Unis... On revient maintenant sur un sujet qu'on évoquait hier... Le débat sur l'avortement refait surface et devrait être l'un des thèmes de la prochaine présidentielle... Fait notable : les groupes opposés à l'interruption volontaire de grossesse se font de plus en plus entendre... Voici ce qu'imposent les toutes dernières lois, en particulier au Texas... Enquête, Maryse BURGOT, Aaron DIAMOND
Reportage consacré à l'action des groupes de pressions anti-avortement aux Etats-Unis. Très influents, ils ont fait passer des lois qui rendent plus difficile le recours à l'IVG et à la contraception. Au Texas, les médecins doivent maintenant décrire le foetus à la mère souhaitant avorter et lui lire un texte, sous peine d'être privé d'exercer. Cette méthode vise à faire culpabiliser les mères et les femmes. Les cliniques pratiquant l'IVG se sont dotées d'un système de sécurité renforcé pour assurer la protection des patientes et des médecins, harcelés et menacés de mort. A Salt Lake City, l'éducation sexuelle a été interdite à l'école puis réintroduite sous la pression de parents. Les droits des femmes à disposer de leur corps semble être en régression.Le commentaire intervient sur des images factuelles en alternance avec les interviews de Curtis BOYD, médecin, d'une patiente, de Rebecca THOMSON, comité catholique contre l'IVG ainsi que les témoignages d'un couple qui souhaitait avoir recours à l'IVG, de Meritt TIERCE, association caritative pour les femmes " teafund " et les déclarations de Rush Limbaught, un animateur radio conservateur et Rick Santorum, candidat républicain.[Source : prompteur France 2] Direction les Etats-Unis... On revient maintenant sur un sujet qu'on évoquait hier... Le débat sur l'avortement refait surface et devrait être l'un des thèmes de la prochaine présidentielle... Fait notable : les groupes opposés à l'interruption volontaire de grossesse se font de plus en plus entendre... Voici ce qu'imposent les toutes dernières lois, en particulier au Texas... Enquête, Maryse BURGOT, Aaron DIAMOND
Elise Obert shares this
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Avortement.. GPA etc.
A travers des reportages, l'histoire, mais aussi la marchandisation de l'enfant..More
Avortement.. GPA etc.
A travers des reportages, l'histoire, mais aussi la marchandisation de l'enfant..
A travers des reportages, l'histoire, mais aussi la marchandisation de l'enfant..
fr.sourire
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Très justes remarques JésusestDieu !
A noter accessoirement une inexactitude de votre part :
"... Et en plus du choc de la grossesse, ces femmes découvrent que celui qu'elles aimaient était un hypocrite qui ne pensait qu'à les engrosser forniquer "...
A noter accessoirement une inexactitude de votre part :
"... Et en plus du choc de la grossesse, ces femmes découvrent que celui qu'elles aimaient était un hypocrite qui ne pensait qu'à les engrosser forniquer "...
Jésus est Dieu
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Oui, avorter est un crime, mais c'est trop facile de s'en prendre toujours à la femme. Mais mettez-vous à sa place.
- La plupart n'ont aucune connaissance réelle du Christ (alors que cette connaissance aurait peut-être pu empêcher l'avortement), parce qu'aucun chrétien n'a pris la peine de leur en parler. Le chrétien qui n'a jamais pris la peine de lui annoncer la Bonne Nouvelle porte aussi le …More
Oui, avorter est un crime, mais c'est trop facile de s'en prendre toujours à la femme. Mais mettez-vous à sa place.
- La plupart n'ont aucune connaissance réelle du Christ (alors que cette connaissance aurait peut-être pu empêcher l'avortement), parce qu'aucun chrétien n'a pris la peine de leur en parler. Le chrétien qui n'a jamais pris la peine de lui annoncer la Bonne Nouvelle porte aussi le poids du sang, de même que celui qui ne prend pas la peine de prier quotidiennement pour changer la situation.
- Ces femmes sont souvent jeunes, parfois même très jeunes. Les adultes vers lesquels elles vont se tourner sont soit leurs parents, soit les dames du planning familial, qui dans 99% des cas ne vont jamais présenter la possibilité de garder l'enfant comme une alternative, mais plutôt violenter psychologiquement ces femmes pour qu'elles avortent.
- Ces femmes vont ensuite s'ouvrir à leurs amis, allumer la TV, consulter les magazines féminins, etc., et découvrir que tous les encouragent à avorter.
- Avec le médecin, ce sera pire.
- Et le père de l'enfant, on l'oublie souvent celui-là. La plupart vont lâchement se défausser, forcer psychologiquement et/ou physiquement la femme à avorter. Et en plus du choc de la grossesse, ces femmes découvrent que celui qu'elles aimaient était un hypocrite qui ne pensait qu'à les engrosser, sans vouloir en assumer les conséquences.
Le tableau peut paraître noir, mais il correspond à plusieurs cas que j'ai rencontrés.
Et bien sûr, si ces femmes envisagent de garder l'enfant, la seule perspective qui paraît sous leurs yeux, c'est la misère (il y a peu de structures qui se chargent de les soutenir financièrement, elles sont peu connues et ont des moyens limités), la solitude (toutes les femmes savent qu'avec un ou deux enfants, il leur sera beaucoup plus difficile de trouver un conjoint ; elles seront peut-être aussi mises à la porte par leurs parents), l’obligation d'abandonner les études (donc parfois leur grand rêve d'enfance), etc.
C'est pourquoi elles sont vraiment de grande saintes si, malgré tout cela, elles gardent leurs enfants ! Avant d'accuser celles qui tombent, il faudrait d'abord accuser ceux qui mettent un tel poids sur leurs épaules.
- La plupart n'ont aucune connaissance réelle du Christ (alors que cette connaissance aurait peut-être pu empêcher l'avortement), parce qu'aucun chrétien n'a pris la peine de leur en parler. Le chrétien qui n'a jamais pris la peine de lui annoncer la Bonne Nouvelle porte aussi le poids du sang, de même que celui qui ne prend pas la peine de prier quotidiennement pour changer la situation.
- Ces femmes sont souvent jeunes, parfois même très jeunes. Les adultes vers lesquels elles vont se tourner sont soit leurs parents, soit les dames du planning familial, qui dans 99% des cas ne vont jamais présenter la possibilité de garder l'enfant comme une alternative, mais plutôt violenter psychologiquement ces femmes pour qu'elles avortent.
- Ces femmes vont ensuite s'ouvrir à leurs amis, allumer la TV, consulter les magazines féminins, etc., et découvrir que tous les encouragent à avorter.
- Avec le médecin, ce sera pire.
- Et le père de l'enfant, on l'oublie souvent celui-là. La plupart vont lâchement se défausser, forcer psychologiquement et/ou physiquement la femme à avorter. Et en plus du choc de la grossesse, ces femmes découvrent que celui qu'elles aimaient était un hypocrite qui ne pensait qu'à les engrosser, sans vouloir en assumer les conséquences.
Le tableau peut paraître noir, mais il correspond à plusieurs cas que j'ai rencontrés.
Et bien sûr, si ces femmes envisagent de garder l'enfant, la seule perspective qui paraît sous leurs yeux, c'est la misère (il y a peu de structures qui se chargent de les soutenir financièrement, elles sont peu connues et ont des moyens limités), la solitude (toutes les femmes savent qu'avec un ou deux enfants, il leur sera beaucoup plus difficile de trouver un conjoint ; elles seront peut-être aussi mises à la porte par leurs parents), l’obligation d'abandonner les études (donc parfois leur grand rêve d'enfance), etc.
C'est pourquoi elles sont vraiment de grande saintes si, malgré tout cela, elles gardent leurs enfants ! Avant d'accuser celles qui tombent, il faudrait d'abord accuser ceux qui mettent un tel poids sur leurs épaules.
